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Par La plume de N. Ghis. le 22 Janvier 2017 à 19:10
Texte libre
Toi le doux fantasme de mes nuits
La nuit, je rêve que je me glisse lentement dans ta couche,
Et sous la clarté de la lune, paisiblement endormie,
Je devine tes dunes laiteuses et tes courbes affolantes.
Je soulève délicatement le drap de satin rouge,
Et j'admire les contours de ce corps que je désire.
Ma déesse! Ta peau ressemble à de l'albâtre.
Ma main parcourt ce corps nu qui me rend fou.
J'en frôle chaque partie pour m'arrêter à ton intimité.
Je te caresse, tu t'éveilles sous mes attouchements
Tu m'accueilles en m'offrant ta nudité et ta bouche amoureuse.
Exalté, je suis emporté par cette envie que j'ai de toi.
Je pose ma bouche avides sur tes lèvres offertes
Que je goûte avec gourmandise et passion,
Puis je prend ton sein dans mes deux mains.
Ma langue en titille le mamelon délicatement:
Je le tète et je le sens qui se durcit au contact de ma langue.
Le rose de tes mamelons m'attendrit et m'excite à la fois.
Ils semblent si fragiles, si petits, si attendrissants!
Il me semble contempler ceux d'une jeune fille?
Tu soupires, tu languis, tu gémis, tu m'enivres,
Tu m'invites à te prendre et ma tendresses déborde.
Mes doigts s'enfouissent dans ta chevelure blonde
Et je respire ce parfum enivrant qui m'ensorcelle.
Tes cheveux sont légers et soyeux, pareil à ceux d'un ange!
Tes lèvres sont douces, avenantes et vanillées.
Tes jambes sont sculpturales, longues, fines et si belles!
Entre tes cuisses, cet antre de la fécondité m'attire.
Tes parties sensibles attirent l'amoureux que je suis.
Ton hyménée secrètement cachés dans cette fourrure soyeuse,
Allument mes ardeur. Je ne peux plus attendre!
Je te pénètre amoureusement, doucement, lentement,
Délicatement alors que tu ressens la douceur de ma pénétration.
Ton désir te fait gémir et chavirent mes sens en folie.
Tes plaintes languissantes, étouffées m'enhardissent,
Et commence ce lent mouvement de vas et viens:
Tes reins se cambrent et me font comprendre tes attentes.
Je veux que tu ressentes ce mélange de douleur et de douceur
Qui font naître en nos corps des sensations espérées
Et que seul l'amour peut apporter dans la plénitude
D'une jouissance mutuelle de deux êtres qui s'aiment
N.GHIS. Texte écrit en Juin 2010
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Par La plume de N. Ghis. le 14 Février 2017 à 18:05
Les années de l'enfance
Dans ce berceau tendu de bleu ou tu reposes
Je te regarde étonnée mon tout petit.
Tu est si frêle mon bébé et si fragile!
Tu commences ta vie et déjà tu combats.
Dans ton léger sommeil, tu pleures et te débats.
De la fragilité, tu n'as que l'apparence,
Puisque Dieu t'as donné la force de l'enfance.
Penchée sur ton berceau, j'écoute vivre ta vie
Qui, dans son inconscience, mobilise la mienne.
Je t'ai voulu si fort, espérée si souvent,
Qu'à ta venue au monde, j'en ai pleuré du sang.
Et je suis là, penchée sur tes moindres soupirs.
Je tremble en caressant tes petites mains graciles.
Je t'ai nourri d'amour, façonné de mon corps,
En te donnant le jour, j'ai côtoyé la mort.
Pendue à tes sourires, à tes gestes d'enfants,
J'attends avec patience de voir ta première dent.
Je guette avec amour l'instant du premiers pas
En pensant que c'est lui qui t'éloig'ra de moi.
Je sais très bien qu'un jour, pourtant, tu partiras.
Ce jour-là et si loin et si proche à la fois,
Que malgré moi j'y pense et je me dis souvent
Qu'elles passent bien trop vite les années de l'enfance...
N. Ghis. La rose De Janvier 2016
Mon époux et moi sommes arrière grand-parents pour la deuxième fois.
D'abord une petit fille et là, c'est un petit Roméo né le premier janvier entre deux et trois heure de l'après-midi.
Nous sommes très fiers d'être arrière grands-parents!
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