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    L'amitié...

     Regilla ⚜ Una Fiorentina in California

     

     

     S'il vous plaît mes amis(es) ! 

    Je n'ai pas la possibilité de changer le design de mes blogs aussi souvent que vous le faites :

    Je ne sais pas me servir des paramètres concernant eklablog. 

    Vous n'êtes nullement obligés(es) de me laisser des images; mais si vous le faites,

    je vous demande de ne pas mettre d'images

    qui ne soient pas en harmonie, au niveau couleurs avec le blog :

    comme des images trop chamarrées et trop criardes.

    Je n'aime pas les rouges, jaunes et oranges, le verts foncés ou trop vifs :

    tout ce qui est trop vif ne me plait pas et je les enlèverai.

    J'aime les couleurs douces, pâles, dans les pastels !

    J'aime tous les parmes, les violines, violets, tous les bleues pâles, verts pâles etc.

    Je préfère que vous ne me mettiez pas d'image du tout, si vous ne respectez pas mon choix.

    Lorsque je vais chez quelqu'un, j'observe l'ensemble du blog,

    et je m'arrange toujours pour ne pas défigurer le blog que je visite.

    Ça peu vous paraître ridicule ; mais c'est ainsi que je vois les choses.

    Si vous faites cet effort, je vous en serais grès.

    Avec tous mes remerciements. »

    L'amitié...


    57 commentaires
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    Très belle horloge de mon amie Lysandra !

       

    De nul part et de partout.

     

    De nul part et de partout.

     

     De nul part et de partout.

     

    L'endroit qui m'a vu naître est loin dans ma mémoire; mais pourtant toujours présents dans mon cœur. Les lieux où j'ai grandi sont divers et multiples. Aucune de mes attaches n'a vraiment résisté aux vents qui me poussaient souvent de tous côtés. Par amour de l'écrit, je me suis cultivée. Autodidacte par nature, ouverte à tout : j'écoute, observe et tends la main à mon prochain. Les grands mots ne sont pas dans mon vocabulaire : chacun peut me comprendre sans prendre un dictionnaire et peut se retrouver dans ce que j'exprime ici. J'aime la poésie pour tout ce qu'elle me donne : par elle, je traduis les souffrances que peut apporter l'existence. Par le fait que je suis en vie, je m'évade dans l'imaginaire. Avec la poésie je me sens comme en apesanteur. Poétesse, je le suis,me dit-on, mais non pas prisonnière. La poésie m'apporte l'évasion dont mon âme à besoin. Je suis petite poussière sur les ailes du vent. Il est libre de souffler où il veut et quand ça lui chante... Il est connût que nul ne peut emprisonner le vent ! Ce que j'écris me représente telle que je suis et je vis comme je vis : sans aucun apparat, sans trop de « tralala ». Certains seront surprit de voir la poésie habillée de mots simples et bafouer les interdits, mais à quoi sert, alors, d'être dame si belle, si l'on ne plaît qu'à ceux qui se disent " cultivés " ? Chacun en ce bas monde a le droit de rêver et, par la poésie, se sentir transporté ! Ma démarche sera donc sincère, sans prétention. Je n'ai pas l'intention de donner des leçons. Je n'ai pas de préjugés et suis sans présomption : chacun pense ce qu'il veut, fait souvent comme il peut... ou alors comme il l’entend, n'ayant de compte à rendre, un jour, que devant Dieu, s’il y croit, ou encore, à sa propre personne, à sa propre conscience, s'il en a une : ce qui pour beaucoup, n’est pas une certitude au regard de comment ils agissent... L'effet « boomerang » existe pour toute le monde : c'est une leçon que la vie n'oublie pas de nous apprendre assez durement, d'ailleurs, lorsque le retour de bâton arrive, et ça fait mal, c'est la seule façon d'apprendre de ces erreurs. La vie ne laisse rien passer. Elle ne ménage personne. L'école de la vie ne permet pas de refaire le devoir.

    C'est ainsi que l'on apprends, et c'est d'autant plus dur, si l'on n'est pas assez fort pour intégrer la leçon apprise ! La vie est un cadeau, alors que nous n'avons rien demandé, mais c'est aussi une garce de vie très cruelle pour certaines gens qui souffrent d'un manque de tout ce qui fait les joies de l'existence. On me dit poétesse : je suis, poétesse sans avoir cherché à l'être. Écrire est un besoin, un but, une détente et un plaisir. Lorsque j’écris, j'essaie de concilier l'utile et l'agréable, permettant à des mots qui s'accumulent en moi, de trouver, sous ma plume, le sens que je leurs dois. J'aimerais tant pouvoir consoler quelques pleurs et, à travers mes mots, apaiser les douleurs, montrer que je comprends les misères de ce monde ; mais que je ne peux rien y faire, car je ne suis que poussière. J’aimerais faire oublier les peurs que je devine en ceux qui n'ont plus le désir de croire encore en eux. Serait-ce là ma mission ? On dit que la musique adoucit les mœurs. Je dis que " La poésie est la musique des cœurs ". Je m'adresse aux errants, aux hommes de tous âges. A ces adolescents : à ceux qui font naufrage. J'ai mal quand on enlève un enfant à sa mère. J'ai mal quand on méprise les vieux, les indigents. Je souffre pour ces femmes dont l'homme ou bien le fils est gardé prisonnier : Sauvagement tués ! J'ai mal pour ces femmes enlevées aux profits d'intérêts, et gardées en otage comme monnaie d'échange au nom de je ne sais quel pouvoir plus qu'abusif ; au nom d'un avenir bien plus que compromit.

    Nous sommes en république ; mais rien ne change, et tout est comme avant. Les leçons de la vie apprises au temps de la révolution n'ont pas servit à grand chose. Les humains recommencent les mêmes erreurs pour l'appât du gain, et une soif inextinguible de pouvoirs. Tout ceci n'est qu’aléatoires et éphémère :Aujourd'hui, vous êtes là, demain, vous n'y êtes plus, et ça ne changera jamais. Je pense à ceux qui s'aiment sans en avoir le droit. Je crie au nom de ceux qui ont faim, qui ont froid. Ces gens n'ont plus la force de porter loin leur voix, et se laissent mourir dans un silence indifférent… Parce qu'on ne les entend pas, nous voulons croire qu'ils n’existent pas. C'est plus facile de ne pas voir ce qui est à sa porte ! Je parle fort pour ceux qui sont indifférents et qui se fichent de tout ce qui n'est pas leur nombril : A commencer par tous ces gouvernements à la tête de pays sous dictature. C'est bien connu : « L'homme est un loup pour l'homme ! » et s'il n'y avait que ça ; mais il y a aussi tous ces propriétaires de biens très matériels dont ils sont amoureux ! Dont ils ne sont pas peu fiers ! Ils sont les premiers fautifs car ils aiment la richesse ! Des autres, ils n'en ont rien à faire !

    Ce confort illusoire dont ils sont prisonniers les empêchent de voir plus loin que le bout de leur nez ! Ces gens très fortunés oublient tout simplement qu'ils n'emporteront rien avec eux pour aller là d’où on ne revient pas. Les richesses de ce monde ne leurs appartiennent pas ! Ils devraient partager plutôt que tout garder ; mais ils se fichent bien de ce qui n'est pas eux ! Je sais que je dérange à dénoncer leur jeux ; mais je n'en ai rien à faire ! Ceux qui n'ont pas envie de lire ce que j'écris, n'ont qu'à fermer les yeux ! Passer leur chemin ! Ceux qui n'ont pas envie de m'entendre crier silencieusement, n'ont qu'à se boucher les oreilles ! Je suis ce que je suis et ne veux rien changer ! Je me plais et me fais un devoir de dénoncer la cruauté des hommes ! Il faudrait que je me taise ? Mais tant que je vivrai, ma voix, par l'intermédiaire de mes écrits, continuera à crier haut et fort toutes les injustices ! Je continuerais à dénoncer la cruauté de ce monde impitoyable ! Je suis celle que l'on veut faire taire aux profit des " gavés". Je n'aime pas les nantis, les avares, les profiteurs qui, en général, ne partagent rien à commencer par Macron !

     Je vous le dis tel que je le pense : je n'aime pas Macron et je n'ai pas voté pour lui ni pour l'autre candidate. Tout ce que je peux vous dire, c'est que j'ai voté pour quelqu'un qui n'était pas en lisse ! J'abhorre cet homme qui, pour moi,  n'en n'est pas un ! C'est un gamin prétentieux, un m'as-tu vu qui adore se pavaner devant les caméras ! C'est un président de pacotille ! Une marionnette ! La République ? Il n'y en a plus ! La démocratie  dites-moi ou nous pouvons parler de démocratie ? La censure est de retour ! Dites-moi ce que les politiciens ont fait de tous nos acquits ? Macron aime le pouvoir, et ça se sent ! Il veut nous faire ingurgiter de force sa politique de bazar qui veut faire de la France un petit village de l’Europe suspendue à ses ordres ! Nous ne sommes plus que des pucerons, que les fourmis commandées par un seul cerveau dirigeant la colonie, viennent pour sucer le miela. "Autrement dit, nos impôts.  Il me dégoûte et sa femme aussi ! Il n'est là que pour se faire du fric et nous dépouiller ! Je ne me sent ps en sécurité avec un tel énergumène ! Nous avons à la tête du pouvoir que des gens corrompus ! Je souhaite une seule chose : c'est de le voir destitué. Il n'aime pas les femmes, même s'il essaie de nous démontrer le contraire. Il n'aime pas le peuple, sauf pour les elections ! Pour arriver au pouvoir, il a tricher  et il a été aidé par des vieux de la vieille ! Il fait joujou avec nous : nous sommes ses pantins ! Il va y arrivé à nous dépouiller le plus possible ! Il m'est antipathique à un point que je ne supporte même pas sa vue aux informations ! Il put la richesse ! A 34 ans, pour moi, ce n'est qu'un merdeux. C'est le soutient qu'il a par derrière qui fait qu'il est maintenu au pouvoir afin de dépouiller un peu plus la France au profit des riches de la planète. Je n'aime pas l’Europe qui nous appauvrit ! Il faut voir ce que nous déboursons pour leur confort, leurs dépenses inutiles, et qui nous dicte ce que nous devons faire...

    La France n'a plus sa liberté de penser !

    Au lieu de nous assommer d'impôts pour les émigrants qui arrivent encore aujourd'hui par la mer, que les riches bobbing construisent des usines, reconstruisent les immeubles, créent des emploies dans leur pays, et que tous ces émigrants retournent chez eux ! Je n'aime pas leurs coutumes, le tchadors, les burkas, les burkinis, les femmes soumises juste bonnes à faire des gosses ! La femme n'est la propriété d'aucun homme ! Je suis féministe en ce sens que je prône l'égalité des femmes par rapport aux hommes, et en 2018, le niveau d'égalité n'est pas encore atteint ! Loin s'en faut ! Je suis idéaliste et fière de ce que je suis ! Ça ne m'apporte rien  de plus dans mon escarcelle ; mais au moins, je suis en paix avec moi-même ! J'ai ma conscience pour moi, et c'est déjà pas si mal ! Je veux croire qu'en ce monde où règne la perdition, tout n'est pas qu'intérêts truffés d'indifférence. Tout n'est pas que le fric, le sexe et la violence, et pourtant ? Cette une question que je me pose tous les jours lorsque je vois comment les despotes se font un plaisir à humilier, dégrader faire souffrir les personnes qui sont sous leur pouvoir. Ça se vérifie encore en ce moment... en France. Vous la posez-vous cette question ? Avez-vous la réponse ? Pour ma part, je pense que ce n'est pas prêt de changer. Quel plaisir ont-ils de nous voir plier de force à leurs directives, leurs lubies, leur autorité mal placée et mal employer ?  Nous ne sommes plus en âge de plier devant leurs exigences. Nous devons prendre notre avenir en main et ne rien lâcher devant leur despotisme.

     

    N. GHIS. Septembre 2016

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