• Poèmes érotiques

     

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    Poèmes érotiques

     

    Toi le doux fantasme de mes nuits

     

    La nuit, je rêve que je me glisse lentement dans ta couche,

    Et sous la clarté de la lune, paisiblement endormie,

    Je devine tes dunes laiteuses et tes courbes affolantes.

    Je soulève délicatement le drap de satin rouge, 

    Et j'admire les contours de ce corps que je désire.

    Ma déesse! Ta peau ressemble à de l'albâtre.

    Ma main parcourt ce corps nu qui me rend fou.

    J'en frôle chaque partie pour m'arrêter à ton intimité.

    Je te caresse, tu t'éveilles sous mes attouchements 

    Tu m'accueilles en m'offrant ta nudité et ta bouche amoureuse.

    Exalté, je suis emporté par cette envie que j'ai de toi.

    Je pose ma bouche avides sur tes lèvres offertes

    Que je goûte avec gourmandise et passion, 

    Puis je prend ton sein dans mes deux mains.

    Ma langue en titille le mamelon  délicatement:

    Je le tète et je le sens qui se durcit au contact de ma langue.

    Le rose de tes mamelons m'attendrit et m'excite à la fois.

    Ils semblent si fragiles, si petits, si attendrissants!

    Il me semble contempler ceux d'une jeune fille? 

    Tu soupires, tu languis, tu gémis, tu m'enivres, 

    Tu m'invites à te prendre et ma tendresses déborde.

    Mes doigts s'enfouissent dans ta chevelure blonde

    Et je respire ce parfum enivrant qui m'ensorcelle. 

    Tes cheveux sont légers et soyeux, pareil à ceux d'un ange!

    Tes lèvres sont douces, avenantes et vanillées.

    Tes jambes sont sculpturales, longues, fines et si belles!  

    Entre tes cuisses, cet antre de la fécondité m'attire.

    Tes parties sensibles attirent l'amoureux que je suis.

    Ton hyménée secrètement cachés dans cette fourrure soyeuse,

    Allument mes ardeur. Je ne peux plus attendre!

    Je te pénètre amoureusement, doucement, lentement,

    Délicatement alors que tu ressens  la douceur de ma pénétration.

    Ton désir te fait gémir et chavirent mes sens en folie.

    Tes plaintes languissantes, étouffées m'enhardissent,

    Et commence ce lent mouvement de vas et viens:

    Tes reins se cambrent et me font comprendre tes attentes.  

    Je veux que tu ressentes ce mélange de douleur et de douceur

    Qui font naître en nos corps des  sensations espérées

    Et que seul l'amour peut apporter dans la plénitude

    D'une jouissance mutuelle de deux êtres qui s'aiment 

     

    N.GHIS. Texte écrit en Juin 2010                   

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  • Commentaires

    1
    Mardi 24 Janvier 2017 à 12:18

    Bonjour ma petite Ghislaine,

    Il est beau ton poème, tu écris toujours aussi bien ? Quel talent ! J'ai laissé un peu de côté l'écriture de mon roman médiéval depuis quelques jours, pas envie...Je le reprendrais quand la motivation sera revenue voilà tout.

    J'espère que tu vas bien ? Mon mari et moi ça va malgré le froid et la grisaille.C'est l'hiver, il faut faire avec pas le choix...Allez dans deux mois et demi c'est le printemps !

    Je te souhaite de passer une agréable semaine.Au plaisir de te lire sur mon blog ma douce amie.Gros bisous.

    Florence 

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