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    Suite à un poème : " Le petit chat est mort ! "que j'ai lu sur le net dans un blog, et que vous devez  certainement connaître, vous aussi. La fin ne m'a pas plus du tout.

    Voici le miens de poème dont la fin, comme vous le dites, est triste ;

    Mais plus prés de la réalité pour les personnes qui aiment les animaux.

    Lorsque l'on perd un animal que nous chérissons, qu'il soit un chien ou un chat,

    sa perte nous rend triste. C'est ce que j'ai voulu faire ressortir dans ce poème.

    Quant mon petit chat farceur s'en est allé.

     

     

    Dans mon coeur,  après toutes ces années,

    mon petit chat n'est pas mort.

     

    OSLO : MON AMOUR DE CHAT !

     

      

    Mon petit chat est mort !

      

    Mon petit chat est mort :

    Je ne sais pas pourquoi, ni comment

    La chose est arrivée subitement 

    Sans que je m'y attende.

     

    C'était mon tout petit minou,

    Trop jeune encore pour me quitter.

    Comme la colère qui me gagne,

    Ma peine ne veux pas s’éteindre

    Car la faucheuse me l'a prit

    Sans me demander mon avis.

     

    Mon petit chat est mort.

    Je l'ai pris dans ma mains :

    Petite boule de poil froide,

    Inerte, sans vie, lui si joueur

    Avec mes pelotes de laine...

    Je ne sent plus sa chaleur

    Et ses ronrons contre mon cœur.

    Son absence me fait si mal 

    Que les larmes inondent mes joues.

     

    Je l'ai enterré ce matin

    Dans mon jardin, sous le sapin,

    Dans ma plus jolie boîte en bois

    Pour que son repos soit serein.

    Je sais qu'il dort ici, tranquille,

    Dans ce trou qui n'est plus vide

    Puisque c'est maintenant sa demeure.

     

    Mon petit chat est mort.

    Il ne me faut plus pleurer

    Il a fait sa maison dans mon cœur

    Pour que ma peine soit plus douce

    Et que mon sourire revienne

    En repensant à ses bêtises.

     

    Ma peine doucement va s'en aller...

    Elle mettra du temps à s'estomper ?

    Mais c'est la vie :

    La même pour tout le monde.

     

    Mon petit chat n'est plus,

    Il est dans sa jolie boîte cercueil.

    Une petite  inscription surmonte sa tombe

    Afin de marquer son passage sur cette terre.

    Il a sa pelote de laine préférée 

    Que je lui ai donné pour ne pas qu'il s'ennuie.

     

    Mon petit chat est mort,

    Son petit coeur ne bat plus ; 

    Mais il sera toujours vivant

    Dans mes pensées, dans mon esprit,

    Et son charme de petit chat

    M'a tant donné de présence et tendresse,

    Que je ne pourrais jamais l'oublier.

     

    N. GHIS

    " Mais non! Le petit chat n'est pas mort. "

     

    " Mais non: mon petit chat n'est pas mort ! "

     


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    C'est une histoire vraie ! Cela m'est arrivé !

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    « Sampa » petit chien bâtard

     

    J'ai lu le récit de Loupzen qui, défendant un petit garçon des griffes d'un homme pas très recommandable, m'a fait sourire me rappelant l'expérience que j'ai vécu au sujet d'un petit chien frappé à coup de pieds par un maître sans aucune conscience, car comme Loupzen, bien que je sois femme, si je vois un enfant mal traité dans la rue par sa mère ou bien par son père ou qui que ce soit d'autre, je me sens obligée de m'en mêler. Je me transforme alors en protectionniste de l’opprimé et tant pis pour moi si je prends des rebuffades ou si je suis insultée : c'est plus fort que moi ! Je ne me rends pas compte que je peux courir à un grave danger et prendre un mauvais coup par la personne qui moleste l'enfant. Je réfléchis après coup. (on appelle cela de la témérité ) et c’est un vilain défaut quelque part dans certaines situations comme cette fois-là car, de nos jours, le danger est partout, et je peux me prendre un mauvais coup. Nous ne savons pas sur qui l'on peut tomber ? Mais je n’arrive pas à me contrôler devant des situations inacceptables pour une personne ayant conscience du mal vivre pour les animaux, comme pour les enfants ou des personnes affaiblies par une vie cruelle.

    Tant et si bien que j'interviens et vocifère quelques mots bien sentit à l'encontre de la personne malfaisante, menace à l'appui d'appeler les flics pour maltraitance à enfant. Lorsque c'est un chien, et cette histoire m'est arrivée, ma réaction est la même et je fonce sans réfléchir à la défense de l'animal en abreuvant son propriétaire de sacré noms d'oiseaux ! Et pour peu que le mec me "gueule" dessus : Qu'est-ce que t’as toi ! De quoi J'me mêle ! Et d'abords j'cause pas aux femmes ! C'est la seule phrase qu'il ne faut jamais prononcer devant moi car mes démons se déchaînent et m'accompagnent dans ma tirade furibonde qui laisse en général, le malotrue, et mes adversaires occasionnels sans voix devant mon culot.

    — « Ah ! Tu ne parles pas aux femmes ! Et bien moi, je parle aux hommes ! Et ce que tu as entre les jambes te sert, décidément, qu'à t'exercer sur plus faible que toi ! Je plaint ta femme si tu en as une ! Et ce que tu as toi, bien caché entre tes cuisses ! Moi, je n'en ai  que faire et en ce moment, je te fais face espèce de sagouin !

    Le bonhomme, interloqué, me lance un regard de défi, sûr d'avoir le dessus sur une femme, sans s'apercevoir de l'attroupement qui s'était formé autour de nous : " Toi ! T'as des couilles ! ha ha ha ! J'voudrais bien les voir, tes couilles ! Connasse !

    — « Ah ! Tu veux les voir espèce de sagouin ! Mais je te préviens : elle sont plus grosses que les tiennes, espèce de lâche ! Tu ne mérites même pas d'être un homme ! Regarde-les bien : les voilà et moi je les montre car je ne suis pas lâche comme toi ! Elles sont là à la vu de tous ! Fis-je en soupesant avec mes deux mains...« mes seins ».

    — «Viens te frotter à moi si tu l'oses ! T'as vu les gens qui nous regardent ? Y'a des témoins ! Ils ont tout vu !

    Et voilà que de l'attroupement fuse un rire, et ça gronde de toutes part, suivit d’applaudissements à mon encontre, car entre deux promptes mouvements, j'avais arraché le petit chien à son maître sans me soucier des représailles qui auraient pu me tomber dessus. Tout en le menaçant d'aller porter plainte à la police contre lui, au paravent, dans ma colère, en voyant cet homme martyriser la pauvre bête. En m’avançant vert l’énergumène, j'avais pris mes précautions en le photographiant avec mon portable en pleine action sur la pauvre bête. J'avais aussi photographié l’immatriculation de sa voiture. Donc, j’avais tout ce qu’il me fallait pour lui faire comprendre qu’il n’avait qu’à s’écraser. Je lui signifiais qu'il était fiché. Qu’il était cuit s’il s’avisait d’aller porter plainte pour ce que venais de faire Il ne fit rien sachant très bien que j'aurais forcément gain de cause contre lui, vu que bon nombre de gens avaient assisté à la scène depuis le début, outrés comme moi, du comportement brutal de cet homme cruel envers son animal, Blesser dans son amour propre d'être pris en faute par une femme, en théorie, plus faible que lui, qui avait osé se mêler de ce qui, pour lui, ne la regardait pas au beau milieu d'une foule comme témoin. Il était, en effet, pris au piège et ne pouvais certainement pas me molester comme il l'aurait voulu. Il ne demanda pas son reste : monta dans sa voiture et fila à vive allure frôlant les autres véhicules en stationnement. Ce jour-là, j'étais en courses dans un hyper marché et heureusement, j'avais terminé. Je fis monter le petit chien dans ma voiture. Il tremblait et moi avec : Je tremblais de tous mes membres jusque chez moi de colère et d'émotion, tout en vociférant contre ce sale type, car l'adrénaline n'était pas redescendu à son minimum. Lorsque jean-Michel me vit arriver avec les courses et le petit chien, Il en est resté comme deux ronds de frite ! Je le laissais là, avec les courses, et m'occupait du petit chien en lui donnant à boire tout en le rassurant. La pauvre bête ne devait pas en être à sa première rouste gratuite de la part cet abrutit qui lui servait de maître ? Nous avons gardé le petit chien pour ne pas lui faire connaître la fourrière en plus de ce qu'il venait de subir. Nous l'avons mené chez le veto pour voir s'il n'avait rien de grave, vu les coups de pieds qu'il s'était pris dans le ventre et un peu partout sur le corps puisqu'il avait saigné de sa petite gueule.

    Le chien nous prit en affection immédiatement. Nous l'avons appelé : "Sampa": comme dans la chanson de Georges Chelon. C'était un adorable petit chien bâtard que nous avons perdu il n'y a pas très longtemps. Voilà son histoire. Je ne supporte pas que l'on maltraite les femmes, les enfants et encore moins les animaux ! Je suis féministe, écologiste, contre toutes formes de violences, et les hommes ne me font pas peur. Nous avons notre place au même niveau qu'eux, même si nous en avons pas la force. Intellectuellement, nous avons une intelligence et une force de caractère qu'ils ne peuvent nier. Il serait temps qu'ils le reconnaissent !

     

    N. Ghis. 

     

    Texte écrit le 24 avril 2017 

     

     


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