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    Le mystère de l’Etang-aux-Ormes

     

    Et tout s'efface... 

     

    Présentation de l’Auteur :

    Nom : Nicolas

    Prénom : Ghislaine :

    Adresse Postale ::

    Numéro de Téléphone : 

    Adresse e-mail :

    Pseudonyme : N.GHIS.

    Présentation du Roman :

    Préambule : Le roman ne comporte pas d’inspirations quelconques ; de même qu’il ne s’agit pas d’une fan fiction. Il n’a pas été publié préalablement à compte d’auteur / à compte d’éditeur ni auto-publié et, est donc libre de tout contrat.

    Genre, sous genre : Romantisme Historique, Suspense, mystère, Paranormal, Intrigue amoureuse, Genre : Histoire Sentimentale.

    Nombre de signes : 471 693 signes en incluant les espaces / 392 354 signes en excluant les espaces / 79 977 mots.

    Motivation de l’Auteur : 

    Ayant vécu une expérience paranormale très forte vers l’age de vingt-six ans, le désir d’écrire un roman s’est imposé dans mon esprit par vagues successives où le surnaturel aurait une place prépondérante dans mon récit. Ayant à cœur de traiter ce sujet, j’ai voulu concevoir mon histoire en me servant du vécu de mes ancêtres, eux même de noble lignée Normande, Franc-comtoise et Anglo-saxonne, ayant existé précisément entre la fin du dix-neuvième siècle et le début du vingtième siècle. Cela m’a beaucoup aidé en ce sens que je me suis plongé dans ce passé afin d’y recueillir les principaux éléments constituant la base de mon roman : Mon imagination très fertile a fait le reste. Très peu considérée dans ma famille et même délaissée, je me suis réfugiée et fortifiée au saint de la lecture, ce qui m’a conduite tout naturellement à m'exprimer par l’écrit avec le secret espoir de devenir écrivain par passion. La vie, jusqu’à présent, ne m’a pas permise d’accéder à mon rêve. J’ai cinq blogs réservés à différentes prestations me permettant d’y dévoiler ma jeune et tumultueuse existence jusqu'à ce jour.

     

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    Des textes de chansons en passe d’être déposés à la SACEM, La FNAC pour les poésies, nouvelles, comtes écologiques etc. J’ai un deuxième roman en cours d’écriture dont l’intrigue se situe juste après la guerre de 39/45. En retraite, la passion de l’écrit constituent mon quotidien, et ne m'a pas quitté depuis l'âge de mes neufs ans. Je ne conçois pas ma vie sans écrire. C’est ainsi que je me sens exister.

    Mes blogs : https://www.eklablog.com/profile/ghislaine-nicolas-poesies

    Synopsis :

    De noble lignée, délaissée, depuis ses six ans à la suite du remariage de son père, le comte Rudolph de Rubens avec Mme Édith d'Argenson ayant une fille de trois ans plus âgée qu'elle. Isabelle de Rubens, n'accepte pas sa belle-mère devenue la comtesse de Rubens. A quinze ans, elle est envoyée en Angleterre sur la suggestion de sa marâtre, chez son oncle, Sir de Montégu : le frère de sa mère noyée accidentellement dans des circonstances douteuses. D'étranges apparitions ont lieu sur les berges de l'étang-aux-ormes où Daphné de Rubens s'est justement noyée. Le paranormal est présent dans la vie d'Isabelle. Doutant de ce qu’elle avait vu, mais voulant savoir la vérité sur la mort de sa mère. Avec l'aide de ses deux cousins germains, elle va découvrir ce qui s'est réellement passé seize ans auparavant.

    Renaud de Montégu et William de Rubens-Gortzinski, les deux cousins vont l'aider à découvrir la vérité sur l'accident de leur tante. Isabelle, sans s'en rendre compte, aime William depuis ses quinze ans, mais leur amour est impossible : pendant son séjour en Angleterre, il s'est marié avec Ludivine, la fille de l'usurpatrice dont il a un fils de cinq ans.

    Présentation des Personnages :

    Rudolph de Rubens : Le comte Rudolph est assez peu intéressé par l’étalage d’une fortune passablement écornée par son père Stephan de Rubens qui, était de son vivant, un épicurien aimant les soirées mondaines et la bonne chaire, avait presque entièrement dilapidé ses biens, ne laissant à son fils Rudolph qu’une fortune déclinante, et le château de Monteuroux avec, l’entourant, de nombreux acres de terrains, ainsi qu’un immense parc agrémenté d’une très grande pièce d’eau. On ne peut pas dire que le jeune comte soit attiré par l’argent, mais Rudolph tient à sa réputation de châtelain de haute lignée.

     

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    Assez cultivé en apparence de par sa condition d’aristocrate, appréciant la bonne littérature ainsi que les expositions de peintres célèbres autant que de sculpteurs en passe de le devenir, il se fait un devoir d’être présent à toutes sortes de cérémonies, et manifestations, d’avantage pour la prestance que cela lui confère, plutôt que pour le côté culturel que cela pourrait lui apporter.

    Daphné Meldwin : Jeune anglaise sans dot, est éprise du comte Rudolph de Rubens fou amoureux d’elle, il l’épouse. Ils vivent heureux pendant cinq ans avec leur petite fille Isabelle, quand un accident survient et la belle comtesse Daphné est retrouvée un matin, parmi les nénuphars, noyée près des berges de la grande pièce d’eau ombragée de grands ormes séculaires agrémentant l’immense parc de château de Monteuroux.

    Isabelle de Rubens : A la mort accidentelle de sa mère : la comtesse Daphné, Isabelle de Rubens, cinq ans, est délaissée par son père afin que celui-ci puisse mener une existence plus libre avec sa nouvelle femme. Isabelle est pratiquement abandonnée, livrée le plus souvent à elle-même. Son deuil à demi terminé, Rudolph sans scrupule, laisse à la responsabilité entière d’Adélaïde de Brémont, la petite Isabelle qui, de par sa naissance, est la vraie comtesse de Rubens.

    Édith Valbergue : Ancienne comédienne, roturière et enrichie par deux mariages aristocratiques, considérée comme étant une très belle femme, épouse en première noces, le comte de Richemont à qui elle donnera une petite fille que l’on prénommera Ludivine.

    Ensuite, en deuxième noces, elle épousera le vicomte D’Argenson qui décédera deux ans après leur union sans descendance. Non contente d’avoir hérité de son premier mari, Édith héritera, pour la deuxième fois, de tous les biens de son deuxième époux : le vicomte D’Argenson.

    Ludivine de Richemont : Ludivine grandit séparée sciemment, par la volonté de sa mère, de la petite Isabelle de Rubens : seule enfant du comte Rudolph. Les années passent. Ludivine a maintenant dix-huit ans. C’est une jeune fille très belle, prétentieuse, hypocrite, manipulatrice et sournoise tout comme l’est sa mère.

    William de Rubens-Gortzinski : Jeune homme très beau et peu intéressé par la possession d’une fortune sonnante et trébuchante : ce qui est un trait particulier chez les de Rubens mâles, est un peu plus vieux que sa cousine germaine Isabelle, quinze ans. La jeune adolescente se rend compte du plan savamment ourdit par la comtesse Edith afin d’influencer, et piéger William de façon qu’il consente à épouser sa fille Ludivine qui se dit amoureuse de lui.

    La comtesse Aurélie de Brémont de Rubens : Aurélie de Brémont : Haute Noblesse Franc-comtoise, très fière de sa naissance, est âgée à présent de quatre-vingt-trois ans, mais n’a rien perdu de sa superbe.

     

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    Cependant, elle est très malade et sachant qu’elle n’en a plus pour très longtemps, elle veut se soulager de ce poids. Depuis longtemps, elle cache l’endroit ou serait dissimulé un trésor de très grande valeur qui enrichirait son fils et le libérerait de ses dettes concernant l’entretient du château, mais elle ne veut en aucun cas que ce trésor, depuis si longtemps dans sa famille, et seul vestige de leur splendeur passée, finisse dans les mains avides de l’usurpatrice.

    Adélaïde de Brémont : Est la petite fille de Aurélie de Brémont. Avant que celle-ci se marie avec Stephan de Rubens. Adélaïde ne compte guère au yeux de sa grand-mère qui ne l’aime pas pour des raisons qu’elle ne dévoilera jamais. Adélaïde devient la préceptrice de Daphné Meldwin lors de son séjour en Angleterre puis, à son mariage avec Rudolph de Rubens, elle suit Daphné au château de Monteuroux, et devient, par la force des choses, la préceptrice et amie et confidente d’Isabelle de Rubens.

    Victoria De Rubens : Fille de Aurélie de Brémont et du comte Stephan de Rubens, est elle-même très riche, n’a d’aucun besoin de la fortune de sa mère.

    Son héritage vient de sa marraine faisant partie de la vieille noblesse de Franc-comtoise, l’ayant élevée depuis sa naissance. Victoria est la tante de la jeune Isabelle. C’est une jeune femme très belle de visage, très érudit, musicienne autodidacte, violoniste accomplie, peintre et dessinatrice de talent. Son seul défaut est d’être née difforme.

    Renaud de Montégu : Neveux de Daphné Meldwin : Le fils aîné de Sir de Montégu, est le deuxième cousin germain d’Isabelle qu’elle a appris à apprécier lors de son séjour prolongé chez son père, au domaine de Verte-cour et ce, jusqu’à son départ : sa majorité ayant sonné pour elle.

    L’abbé Forges : Père spirituel d’Isabelle qui la suivra tout au long de sa vie de petite fille, ainsi qu’à son adolescence à Monteuroux, avant qu’elle ne s’en aille en Angleterre. Ensuite, il continuera de la suivre par correspondance jusqu’à ce qu’elle revienne, devenue jeune femme, au château de Monteuroux.

    Le père Anselme (Adrien) : Vieux jardinier peu bavard, s’occupe seul du domaine de Monteuroux. Il est peu loquace, bourru, ne parlant que pour saluer les châtelaines. Il possède non loin de l’étang-aux-Ormes, une chaumière faisant partie de domaine, entourée de glycine. Cette chaumière lui suffit amplement car il est seul et déjà d’un certain âge. Lorsqu’il s’occupe des jardins ou même quand il est dans sa chaumière à balayer ou en train de fumer sa pipe derrière les glycines, rien ne lui échappe des allées et venues des châtelains et des domestiques.

     

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    Émilie Granchette : Ancienne femme de chambre de la Comtesse Daphné de Rubens, résidant au village d’en bas, elle connaît beaucoup de choses concernant sa maîtresse décédée tragiquement, et les agissements des châtelains de Monteuroux. La comtesse Édith et sa fille ne lui sont pas sympathiques.

    Berthe : La femme de chambre et âme damné d’Édith est entièrement dévouée à sa cause, lui vouant une adoration sans borne. Lorsque Édith devient la comtesse de Rubens, Berthe est toujours présente à son service. Par la suite, tout en continuant son métier auprès de sa maîtresse, elle prendra sous sa protection, non seulement Ludivine qu’elle chérie, mais aussi son petit garçon Thierry qu’elle aime plus qu’elle-même.

    Thierry : Le petit Thierry né de William et de Ludivine au sein d’un mariage qui n’en est pas vraiment un : la faute venant de sa femme qui, une fois mariée, passe les trois quart de l’année avec sa mère et son beau père à Paris.William ne voit pas souvent sa femme et son fils qui, à présent, a cinq ans. L’enfant, sans en avoir conscience, déclenchera, à cause d’une malheureuse imprudence, le drame qui sera le début d’une affaire extrêmement compliqué, amenant, après maintes péripéties, la résolution de cette mystérieuse énigme concernant l’accident de la première comtesse de Rubens, survenu à l’étang-aux-ormes. 

     

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     Déroulement de l’intrigue :

    Depuis le remariage précipité du comte Rudolph de Rubens avec Mme Edith D'Argenson devenue la nouvelle châtelaine, Isabelle est délaissée à l’âge de cinq ans par son père à la suite du décès de sa mère.

    La comtesse Édith de Rubens n’accepte pas la présence de la petite Isabelle qui le lui rend bien, et elle s’arrange en influençant habilement son mari, pour que l’enfant reste avec Adélaïde : la préceptrice de sa mère, décédée dans des circonstances étranges, afin qu’elle ne fasse pas partie de leur vie.

    La petite Isabelle n’a rien à attendre de sa belle-mère qui ne lui témoigne aucune sympathie ayant, elle même, une fille de trois ans plus âgée qu’elle.

    Pour définitivement se débarrasser de cette gênante enfant, Edith fait en sorte de la dénigrer avec pondération et hypocrisie, auprès de son père, afin de lui faire percevoir sa propre fille comme une enfant rebelle, insolente, sauvage et indisciplinée. D’un caractère très influençable, le comte regarde sa fille qu’il n’a pas élevé, différemment, et se rend aussitôt aux raisons qu’Édith expose, afin de la tenir éloigner d’eux et surtout de sa belle-fille Ludivine à peine plus âgée qu’elle : seulement trois ans les séparent, mais ils sont suffisants pour que les deux fillettes ne s’entendent pas et que rien ne soit en commun.

    Isabelle vit très mal la séparation quasi définitive d’avec son père qu’elle aime malgré l’éloignement affectif subit à cause de sa belle-mère. Ne supportant pas son autorité malveillante, Isabelle grandissante, loin de son père, prend en grippe, non seulement la mère, mais aussi la fille ainsi que son cousin germain William avec qui elle s’entendait très bien du temps où sa mère était encore de ce monde. Les deux enfants avaient une complicité sereine et s’aimaient beaucoup.

    En avançant en âge, William s’éloigne d’elle sous l’influence néfaste d’Edith de Rubens et de sa fille. Isabelle ne supporte pas de voir minauder la jeune comtesse de Richemont auprès de son cousin afin de le séduire. Une animosité se développe à son encontre, et à partir de cet instant, la jeune comtesse de défit de lui.

    Elle en devient ingérable, et sur les suggestions de la comtesse Edith, son père décide de l’envoyer en Angleterre chez son oncle, Sir de Montégu.

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    Isabelle n’accepte pas d’être éloignée de son cher Monteuroux, mais ne le montre pas afin de ne pas donner satisfaction à sa marâtre qui serait trop contente de la voir en souffrance. Furieuse d’être évincée, Isabelle ne sais que faire et se promène désemparée dans le grand parc du château où d’étranges phénomènes vont commencer à se produire sur les berges de l'étang-aux-ormes. Le paranormal est de plus en plus présent dans la vie d'Isabelle jusqu’à son départ pour l’Angleterre. La jeune fille doute toujours, mais voulant savoir toute la vérité sur la mort de sa mère qui n’est pas un accident puisqu’elle lui en fait la confidence, Daphné à peur pour sa fille et sur ses conseils, elle la persuade de partir, sans faire de difficultés, pour l’Angleterre, chez son oncle, mais sans se retourner. Avec un petit pincement au cœur, la jeune adolescente sait qu’elle ne sera pas présente au mariage de William qui s’est fiancé à Ludivine.

    A son retour d’Angleterre, au bout de six années, Isabelle revient transformée en une très belle jeune femme racée, distinguée, cultivée et avenante. Son cousin a du mal à voir en elle la petite sauvageonne rebelle à toutes remontrances. Surpris, il la regarde avec une admiration qu’il veut contrôler. Il n’est plus du tout hostile envers elle, et ils reprennent leur amitié là où elle en était restée…

    Les événements concernant Isabelle vont se précipiter et les apparitions de sa mère vont reprendre de plus belle.

    Lors d’un séjour au château de Monteuroux, Renaud venant rendre visite à Isabelle, va découvrir, ce qui s'est réellement passé quinze ans auparavant. D’une intelligence finement aiguisée, et perspicace, Renaud de Montégu observateur hors paire va, à force de déductions fondées sur des faits tellement évidents, va faire un travail d’enquêteur qui va mettre sur la voie William de Rubens-Gortzinski sur les points douteux de ce fameux accident. A force de raisonnements, et de recoupements, ils vont disséquer les circonstances ayant provoqué la mort de leur tante Daphné, et vont aider Isabelle à découvrir la vérité sur l'accident de leur tante. La jeune comtesse, sans s'en être rendue compte, s’est éprise de William en secret depuis sa toute petite enfance ; mais bien trop jeune, ce sentiment s’était endormit dans son jeune cœur. William l’aime aussi en secret, mais s’en défend : leur amour étant impossible. Pendant son séjour en Angleterre, Isabelle apprend la naissance du petit Thierry. William a donc un fils qui a maintenant cinq ans.

    Ce n’est pas une union heureuse, car leur mariage n’en est pas vraiment un ; mais William le cache.

     

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    C’est un jeune homme qui ne s’étale guère sur ses déconvenues matrimoniales. Comme chaque année à la même époque, Ludivine, vient avec son fils passer les mois d’été au château de Verte-court, elle s’aperçoit vite de l’inclinaison que William a pour sa cousine Isabelle et elle en est terriblement jalouse sans vraiment le monter, elle lance, à Isabelle avec cet air angélique qu’on lui connaît bien, des pics avec cette voix doucereuse accompagnée d’un sourire hypocrite et ingénu, ce qui a pour effet d’exaspérer William et Isabelle qui ne veulent rien montrer de leurs sentiments réciproques, s’appliquant à les garder pour eux, du fait de l’impossibilité d’être ensemble. Ils sont conscients qu’un jour, leur amour puisse se dévoiler au grand jour.

    Après maintes et maintes péripéties, dans le déroulement de l’histoire, Isabelle va devoir affronter des faits gravissimes, pas très beaux à entendre de la part de certains membres de sa propre famille... Et de la domesticité qui en sait bien plus long qu’ils ne veulent l’avouer. Son père ne veux pas admettre ce qui, pourtant ne peut être nié par les coupables puisque les preuves sont accablantes. Des drames suite à la découverte de la vérité vont se produire et après plusieurs découvertes pénibles à supporter concernant la mort tragique de sa mère, Isabelle doit bien se rendre à l’évidence que sa belle mère en veut à sa vie, et n’aura de répit de la lui gâcher. La justice divine devant faire son œuvre, les coupables seront démasqués. Les phénomènes paranormaux disparaîtront, laissant une trace de leur véracité indiscutable pour les jeunes gens.

    Roman chez l'éditeur


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    " Tu vois : la fille que tu viens de traiter de  GROSSE. "  

    Elle à fait une surdose de pilules amaigrissante : Elle est entre la vie et la mort.

    La fille que tu viens de traiter de  LAIDE : 

    Elle passe des heures devant son miroir à se mettre du maquillage pour espérer être aimée et acceptée.

    Le garçon que tu viens de faire tomber par plaisir :

    C'est un garçon maltraité chez lui.

    Tu vois l'homme avec des cicatrices sur le visage, sans compter celles que tu ne vois pas sur son corps et

    les dégâts psychologiques qui eux ne se voient pas forcément... 

    Il a combattu pour que tu connaisses une vie tranquille,

    Et il a manqué, pour son pays, d'y laisser sa propre vie.

    Le gars dont tu viens de te moquer parce qu'il pleur en se cachant des regards curieux :

    Sa  mère est en train de mourir, et il n'a plus qu'elle.

    Quand tu te moques de quelqu'un qui fait des fautes sur son blog :

     Connais-tu son parcourt scolaire, et la vie qu'il a eu enfant ?

    Crois-tu avoir le droit de lui faire honte devant tout le monde ?

    Qui te donne le droit de juger ton prochain ?

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    Parce que je suis contre l'intimidation, la méchanceté, gratuite, le mépris de l'autre,

    le harcèlement, je me battrais pour faire changer les choses.

    Arrêtez de juger sans savoir par où et quoi ceux que vous persécutez sont passés !

    Le boomerang, tôt ou tard, vous reviendra dans la figure...

    La Méchanceté Gratuite


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