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Par La plume de N. Ghis. dans Mes révoltes le 12 Avril 2017 à 12:06...des nuits, le cafard me prenait. Sur mon lit de ferraille, dans le noir, je pleurais En fixant, sans la voir, la veilleuse du dortoir. Les pleurs n'avaient pas cours dans ces pensions sans nom. Nous n'avions pas le droit de nous laisser aller. Nous étions surveillées et gare aux punitions...