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OSLO MON AMOUR de chat !
Notre chat s'est échappé de la maison un soir et s'est caché dans le jardin. Je ne voulais pas qu'il sorte car c'était un chat que nous avions payé cher. Il avait un pedigrees. Nous avons bien essayé de l'attraper, mais il se cachait si bien dans les massifs et les fourrés qu'il n'y avait pas moyen de l'atteindre. Nous avons persisté et nous l'avons cherché une bonne partie de la nuit sans arriver à le localiser. il se cachait tellement bien dans ces sacrés massifs de fleurs et de plantes qu'il n'y avait pas moyen de l'attraper. Nous avons persisté et nous l'avons cherché une bonne partie de la nuit sans arriver à le localiser. Nous savions bien qu'il serait impossible de pouvoir savoir où il se terrait. Ce coquin avait pris conscience que s'il se laissait attraper, il ne retournerait pas dans le jardin. Il avait choisi de prendre la clef des champs pour une nuit: il avait certainement une envie folle de vagabonder. C'était un chat d'intérieur et je ne voulais pas qu'il sorte de peur qu'il se fasse prendre par des gens indélicats. C'était un chat de race avec pedigree que l'on m'avait offert pour mes 30 ans.
Les trois premières années se passèrent sans incident et puis, survînt cette catastrophe. Nous savons qu'il ne s'est pas fait écraser: il était vacciné et tatoué. Nous avons fait des recherches et l'avons signalé à l'institut féline des chats de race puisque il y était inscrit ; mais rien de concluant ne permit de le retrouver. Nous avions terriblement peur qu'il est été volé pour la vivisection ou pour la revente des chats de race : ce qui nous faisait poser des questions ? Je ne m'en suis jamais remise. Mon Oslo me manque. Jamais il ne nous a sortit une griffe ! Je le lavais, le séchais au séchoir, le brossait sans qu'il ne miaule jamais. Il se laissait papouiller en ronronnant. Le matin, il venait me ronronner à l'oreille pour que je me lève. C'était un amour de petit chat!
Voici son papa
Et voici sa maman
Aujourd'hui, j'ai une petite Manon. C'est une chatte européenne que nous pensons croisée avec écaille de tortue, à poils longs. Nous l'avons trouvé dans la rue. Elle était abandonnée et affamée. Nous l'avons recueilli et doucement apprivoisée. Aujourd'hui, elle est heureuse dans notre grand jardin : elle aime se cacher pour guetter les pauvres oiseaux qu'elle arrive à capturer. Nous avons dans notre jardin, un très grand mûrier platane où elle aime grimper pour s'ébattre tout sont saoul, y faire la sieste et nous surveiller du coin de l’œil. Nous espérons la garder encore quelque années avec nous. Nous savons qu'elle ne pourra pas vivre au delà de 18 ans. Nous ne connaissons pas exactement son âge puisque nous l'avons recueilli a, à peu près 1 ans. Elle aime beaucoup le jardin Nous pensons qu'elle devait avoir à peu prés, entre un et deux ans. Si tout va bien, nous devrions la garder avec nous encore un certain temps, ce qui devrait l'amener doucement à 18 ans; mais vu que des chats peuvent vivre jusqu'à 20 ans si rien de fâcheux ne leurs arrive, nous espérons la garder peut-être un peu plus... Nous sommes préparés à son départ.
Une bonne nouvelle pour Manon : aujourd'hui, en 2019, elle est toujours avec nous et elle doit bien les avoir ses 18 ans ? Elle est toujours très agile et en bonne santé.
Voici Tchico : le chat de l'écrivain.
J'ai eu aussi ce même chat :
Un sacré de Birmanie que j'ai gardé 18 ans.
Mon chat Tchico qui est décédé d'une jaunisse.
C'était vraiment le chat de l'écrivain.
A l'époque, je me servais d'une machine à écrire,
et Tchico restait à côté de moi, me regardant taper sur les touches du clavier.
Ça ne s'est pas arrêté là ! A force de m’observer,
Il a voulu faire comme moi,
en essayant d'attraper les touches lorsque je tapais sur l'une d'elles
et que le marteau qui tapait la lettre se levait. C'était unique !
Il était tellement obnubilé par le mécanisme de la machine,
Qu'à force de fixer les touches, il en faisait des haut le cœur.
Voici Manon dans notre mûrier platane du jardin.
Elle adore nous espionner de son perchoir!
Et voici Manon sur notre fauteuil
Lorsque j'étais très petite: dans les 4/5 ans environs et que j'étais encore chez mes parents, j'avais un joli petit chat noir avec une tache blanche en guise de médaillon sous le cou : sous son menton exactement. Il s'appelait Sycky. Il était aussi très intelligent ! Pour noël, mes parents m'avaient offert un piano avec beaucoup d'autres jouets comme je vous l'ai expliqué dans " Mon seul noël d'enfant entre mes deux parents". Ce petit piano était d'un beau rose pâle avec des dessins sur les côtés. J'aimais faire chanter les notes même si elles étaient discordantes et souvent Sycky venait m'observer. Le bruit que faisaient les notes du piano l'intriguaient beaucoup?
Ce n'est pas Sycky que l'on voit ici: je n'ai pas de photo de lui ; mais c'était le même chat.
Aussi, un midi que nous déjeunions, maman et moi, nous entendîmes, toutes les deux, le piano jouer seul. Le bruit venait de la chambre de mes parents puisque qu'il n'y avait qu'une seule chambre pour eux et moi. Surprises d'entendre le piano jouer sans que j'y sois pour quelque chose, nous nous dirigeâmes vers le bruit. Quelle ne fût pas notre surprise de voir Sycky assis sur son derrière, et ses deux pattes avant qui jouaient sur le clavier, taper et écouter les notes qui sortaient de l'instrument. Je m'en souviens comme si c'était hier. Les souvenirs d'un enfant sont bien plus précoces que l'on ne peut le croire : surtout s'il vous marque d'une manière indélébile...
Les chats sont mélomanes apparemment!
Et bien Sycky faisait la même chose avec ses deux pattes sur mon piano d'enfant comme le fait ce chat ci-dessus.
Mon Sycky, le petit chat de ma petite enfance, (cinq ans), année 1952 : on me l'a empoisonné par jalousie et par méchanceté avec de la mort au ras. Nous n'avons jamais su qui avait commis cette atrocité?
A l'époque, Il n'y avait pas de vétérinaire comme aujourd'hui et de toutes façons, en ce temps-là, nous ne prenions pas soins des bêtes comme on le fait aujourd'hui. Certaines personnes sont méchantes. Mon adorable chat a agonisé trois jours au coin de la cuisinière à charbon, dans un carton que maman avait garnit d'une petite couverture pour qu'il soit bien. Je l'ai vu agoniser trois longs jours. Il avait des soubresauts et des gémissements indescriptibles qui m'impressionnaient terriblement. Il souffrait et nous ne pouvions rien faire pour le soulager. Je pleurais toutes les larmes de mon corps, car bien trop petite pour comprendre la cruauté des gens... Aujourd'hui, je connais jusqu'où va la méchanceté du monde. Je n'ai jamais pu oublier mon Sycky.
Ce dont sont capables nos amis les chats.
J'aime leur curiosité et leur intelligence!
Et j'aime aussi Leurs pitreries!
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Amaryllis
Hortensias
Jasmin odorant
Famille des marguerites
Famille des marguerites
La glycine au printemps et la voiture en face.
Rosier fleurs miniatures
Manon sur le haut du barbecue sous le mûrier platane
Nénuphars du bassin en fleur
Câprier en fleurs
Le palmier et le mûrier platane du jardin
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Suite au titre d'un poème que j'avais souvent entendu petite, mais jamais lu,
Je me suis souvenu de ce fameux titre qui m'intriguait depuis l'enfance.
Il m'est revenu en mémoire, et je me suis mise à rechercher ce titre dans le net.
Je l'ai trouvé sur un blog, et la fin ne m'a pas plus du tout.
J'ai donc décidé d'en changer la fin.
Voici le miens de poème dont la fin qui, comme vous le dites, est triste ;
Mais plus prés de la réalité pour les personnes qui aiment leurs animaux.
Lorsque l'on perd un animal que nous chérissons, que ce soit un chien ou un chat,
sa perte nous rend triste. C'est ce que j'ai voulu faire ressortir dans ce poème.
Le petit chat est mort !
Mais, dans mon coeur, mon petit chat vivra éternellement !
Mon petit chat est mort :
Je ne sais pas pourquoi, ni comment,
La chose est arrivée subitement
Sans que je m'y attende.
C'était mon tout petit minou,
Trop jeune encore pour me quitter.
Comme la colère qui me gagne,
Ma peine ne veux pas s’éteindre
Car la faucheuse me l'a prit
Sans me demander mon avis.
Mon petit chat est mort.
Je l'ai pris dans ma mains :
Petite boule de poils froide,
Inerte, sans vie, lui si joueur
Avec mes pelotes de laine...
Je ne sent plus sa chaleur
Et ses ronrons contre mon cœur.
Son absence me fait si mal
Que mes larmes inondent mes joues.
Je l'ai enterré ce matin
Dans mon jardin, sous le sapin,
Dans ma plus jolie boîte en bois
Pour que son repos soit serein.
Je sais qu'il dort ici, tranquille,
Dans ce trou qui n'est plus vide
Puisque c'est maintenant sa demeure.
Mon petit chat est mort.
Il ne me faut plus pleurer
Il a fait sa maison dans mon cœur
Pour que ma peine soit plus douce
Et que mon sourire revienne
En repensant à ses bêtises.
Ma peine doucement va s'en aller...
Elle mettra du temps à s'estomper ;
Mais c'est la vie :
La même pour tout le monde.
Mon petit chat n'est plus,
Il est dans sa jolie boîte cercueil
Une petite inscription surmonte sa petite tombe
Afin de marquer son passage sur cette terre.
Il a sa pelote de laine préférée
Que je lui ai donné pour ne pas qu'il s'ennuie.
Mon petit chat est mort,
Son petit coeur ne bat plus ;
Mais il sera toujours vivant
Dans mes pensées, dans mon esprit,
Et son charme de petit chat
M'a tant donné de tendresse
Que je ne pourrais jamais l'oublier.
N. GHIS