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    Nous ne sommes composés que de vibrations... Mais des vibrations de quoi??? 

     

     

     

    La porte du temps.......fractale

     

    La porte du temps.......fractale


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     L'amitié...

     

    Ma philosophie de la vie... et vous.

     

    « Comment définir l'existence, si ce n'est de vivre sa vie au quotidien, quelques soient les embûches qui peuvent entraver notre route, et les surmonter ? »

    N. GHIS.

     L'amitié... 

    Ma définition de l'amitié... et vous.

     

    Je peux être la meilleure des amies, mais je n'aime pas la traîtrise ni les lâches et j'en connais pas mal sur le net.

    Je n'aime pas les gens lunatiques qui vous parlent un jour et le lendemain ne vous connaissent plus. J’ai horreur des pédants(tes), des gens agressifs, méprisants(tes) qui se croient au dessus des autres, et si l’on me vexe par prétention en se croyant mieux que moi, comme tout le monde, j’ai mon ego et je ne me laisse pas faire ! J’aime être respectée comme je respecte les autres. Mais si l’on me manque de respect: n’essayez pas car la louve se réveille en moi et tant pis pour la casse virtuelle ! Je ne comprends pas que la blogueuse que j’ai dans le collimateur en ce moment, et que je ne pourrai plus jamais encaisser parce qu'elle est moqueuse et se plaît à rire et se moquer sur le dos des autres, me cherche encore des noises, comme je ne comprends pas que les blogueurs qui l’on pour amie et favorite, viennent aussi chez moi ? J’aimerai bien connaître leurs raisons ? Elle ne doit pas manquer de me critiquer pour faire rire la galerie de ses adorateurs, cette teigne ? 

    Je ne les bannis pas par respect parce qu’ils ne m’ont encore rien fait ; mais je me méfie. Que trouvent-ils chez elle de plus que chez moi ? Qu'est-ce qui les intéressent tant chez moi ? Je sens de la fausseté chez eux parce qu’ils ne s’expliquent pas franchement avec moi, et venir sur mes blogs en silence, sans même laisser un commentaire, m’agace  parce que je sens la critique derrière mon dos ! S’ils ne venaient plus, se serait aussi bien et moi, je serais beaucoup plus sereine… Je ne veux pas d’embrouilles ; mais que les choses soient claires : en ce moment, ce n’est guère le cas... Si j'étais face à elle, elle se prendrait une raclé ! Avec ce que j'ai vécu jusqu'à la fin de mon adolescence, elle ne me fait pas peur ! Je n'aime pas les histoires ! Je ne suis pas rancunière ; mais s'il on me provoque, je deviens une louve enragée...

    Ma définition de l'amitié... et vous. 

    Je donne plusieurs chances car je considère que l'être humain est loin d'être parfait et je fais partie de la race humaine, Mais cette blogueuse-là : je ne lui laisse aucune chance. Je la considère comme une mauvaise personne. "Qu'on se le dise"...

     

    J'aime la sincérité ! Je fais une énorme différence entre le copinage, les affinités d'où peut naître une amitié : la réelle amitié ! Pas celle qui est virtuelle, et qui ne dure que l'espace d'un blog, qui disparaît sans crier gare : ça, ce n'est pas de l'amitié ; mais du copinage, des fausses amitiés, de l'hypocrisie, de l'intérêt, de la fausseté ou bien de l’indifférence, ce qui caractérisent beaucoup de personnes qui parlent d'amitié sans savoir même ce que ce mot veut dire réellement.

    Pour moi, c'est un semblant d'amitié, une parodie d'amitié, une sympathie éphémère : appelez ça comme vous voulez. Mais pour moi, ce n'est rien d'autre qu'une parodie d'amitié : C'est tout. Si cette amitié se construit au contact de mes semblables, elle peut survenir en moi très rapidement. Ensuite, elle poursuit sa route se sculpte, s'affine et parfois s'estompe parce que j'ai décelé une faille dans la personne qui se dit mon amie.

    Je viens de subir deux déconvenues qui m'ont fait mal de la part d'amis(es) : de faux amis(es) que je croyais sincères : une faille qui ne pouvait que s'agrandir avec le temps. Alors, après m'avoir lâché lamentablement et laisser un long silence s'installer entre nous malgré multiples relances de ma part, j'ai laissé tombé et la voilà qui se pointe de nouveau, toute mielleuse et sans crier gare.

    Je n'aime pas ces comportements ! Lorsque je parle d'amitié, je sais de quoi je parle et il y aurait encore de quoi dire !

    Il serait mentir que de penser que l'amitié est éternelle ! On doit cultiver la fleur de l'amitié si non, comme dans un couple, les chemins se séparent et c'est irréversible.

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    En générale, je suis très fidèle en amitié : j'ai des amies de plus de 30 ans et l'on ne voient que très peu ; mais à chaque fois, c'est avec le même plaisir parce que l'on a vécu des joies et des peines que jamais nous ne pourrons oublier. Nous avons habité l'une au dessus de l'autre avant que nous achetions notre villa, puis, nous avons déménagé assez loin deux et comme si c'était une famille, nous nous écrivons par l'intermédiaire de FB. Nous nous connaissons tous. Nous nous somme connus en 1979. Les enfants on grandit, on fait leur vie ; mais l'amitié est toujours là.

    Pour moi, l'amitié doit aller dans les deux sens. On ne doit surtout pas penser à son propre intérêt dans une amitié sincère si non, ce n'est pas de l'amitié mais tout simplement chercher à profiter de l'autre.

    Je ne nommerai personne pour leurs conserver leur anonymat ; mais je n'en pense pas moins ! L'amitié n'exige rien de l'autre. l'amitié est désintéressée. Qui peut se venter de n'avoir pas fait "ami ami" sans rien attendre de l'autre en retour ?...

    Dans la vraie vie, ça ne me dérange pas de ne pas avoir de nouvelles de mes amis(es) durant des années et les retrouver ensuite. Ce sont des gens que j'aime ! Des gens avec qui j'ai beaucoup de très agréables souvenirs, et aussi de très triste comme le décès d'un amis.

    Nous ne nous sommes pas vraiment quitter avec ces amis (es) ; mais les redécouvrir encore dans leur progression comme dans la mienne, accepter ce qu'ils sont devenus, évoquer les souvenirs mais aussi les projets, avoir envie de les prendre dans mes bras et de les embrasser encore, comme avant ou prendre conscience que nos chemins et nos opinions ont divergé sans amertume, juste en conscience avec soi-même, que cela soit pour eux ou que cela soit pour moi, le fil ténu de nos amitiés, petit à petit et à cause des aléas de la vie, s'est dissout sans bruit...

    Je n'ai pas de nouvelles des rouages de mon enfance. Parfois il m'arrive de me demander :

    _" Qu'es-tu devenu, toi que j'ai observé ?... Toi ou toi que je regardais avec des yeux de jeune fille ?..."

    Étant habituées à la solitude, ils (elles) ne me manquent pas vraiment en fin de compte. Toutefois, je vous vois nombreux à vous être suivis, accompagnés, soutenus... Alors, si cela ne m'a jamais empêché d'avancer parce que solitaire depuis ma toute petite enfance et qu'il faut bien faire face au destin qui nous est demandé d'accomplir, parfois cette bulle dans laquelle j'ai dû me définir dans l'espace temps pour me protéger au fil de mes pérégrinations et de mes haltes, pour ne pas souffrir des ruptures amicales, aujourd'hui, cette bulle me semble remplacée par un mur de béton armé derrière lequel on ne me voit, ni ne m'entend plus… J’essaie bien de briser ce mur ; mais je n'y arrive que partiellement. Solitaire je suis, solitaire je resterai...

    Amis(es) d'enfance ? Il n'y en a pas. Parents, famille ? Il n'y en a pas : il n'y en a plus parce que, petite fille et ado, je n'ai jamais connu ni tendresse ni amour comme beaucoup d'entre nous.

    Dans ma vie, à part mon mari, mes enfants et mes petits enfants, l'indifférence est omniprésente : il y a ceux qui passent, ceux qui regardent, ceux qui voient, ceux qui sont en accords avec ma façon de voir les choses, ceux qui prennent le temps de lire, ceux qui pensent tout en lisant...ou pas, ceux qui passent, qui repassent ou repasseront, ceux qui laissent un gentil commentaire sur mon espace... ou une vacherie, ceux qui s'en fichent pas mal, ceux qui jugent, ceux qui critiquent, râlent, ceux qui aiment... ou qui n'aiment pas, et enfin, ceux qui agissent selon leurs inspiration du moment :

    "Je laisse un mot ou j'en mets pas ? Bof ! J'ai pas envie... C'est pourtant bien joli ce poème ! Mais j'ai pas envie de laisser un com ou je n'ai pas le temps.

    "OH ! L'image est belle sur ce site (ou blog) ! Mais je ne peux la prendre. Alors à quoi bon m'attarder là où je ne peux rien piquer ?! " Ça c'est la mentalité de certaines personnes du net.

    Où êtes-vous, vous ? Dans quelle catégorie vous situez-vous ? Je n'en sais rien ; mais vous ! Vous êtes les seuls à savoir dans quelle catégorie vous vous situez... Un ami ou une amie pour moi, c'est :

    Celui ou celle que je n'attends pas, mais qui est toujours le (la) bienvenue, il (elle) est celui (celle) à qui je parle mais qui déjà a senti naître un tout petit bourgeons d'amitié entre nous. Il (elle) est celui (celle) qui jamais n'hésitera à me dire honnêtement que j'ai tort ou qu'il (qu'elle) n'est pas d'accord : je n'en resterai pas moins en accord avec il ou elle car il (elle) est celui (celle) que j'aurai le sentiment de n'avoir jamais quitté malgré de longs moments de silence ou d'absence. Je sais que j'ai trouvé quelques amis(es) de confiance que je ne connaîtrais jamais autrement que virtuellement. Ils sont au nombre de six personnes dans lesquels (elles) j'ai confiance.

    Il y a plus de vingt ans, une seule amie de blog, jusqu'à ce jour, est venu passer quinze jour de vacance chez nous, dans le midi avec ses trois enfants de huit ans à 12 ans... et son mari : un sale type imbuvable ! Je suis heureuse d'avoir pu lui faire passer ces quinze jours de vacances chez nous ou nous sommes toujours en vacances : La Côte d'Azur. C'était une amie adorable qui se prénommais Isa. Elle a profité avec nous et son sale type de mari lui fichait la paix parce que nous veillions, au grain avec mon mari. Je ne vous en dis pas plus ; mais s'il n'avait pas été là, cela aurait été beaucoup mieux. Cette amie m'a raconter son calvaire avec cette pourriture. Un macho pas possible qui n'a jamais eu la loi avec moi et surtout pas sur sa jolie fille aînée de 12 ans : déjà un petite femme ! Il n'avait pas intérêt à la toucher ou à lui faire peur en paroles ! Je rectifiais le tir automatiquement devant les enfants à qui il faisait peur et pas qu'à eux.

    Que pouvez vous faire lorsque une jeune femme de 35 ans vous explique que pour ses enfants, elle ne veut pas porter plainte ? J-M l'a prise à part, en voiture, lui a parlé, expliquer ses droits etc. Nous avons voulu déposer plainte avec elle ; mais elle ne voulait pas et nierait tout si nous ne respections pas son désir. Nous étions en Bien mauvaise posture...

    Elle n'osait pas aller contre son ignoble mari qui la battait lorsqu'il étaient chez eux, qui lui volait sa carte de banque et son argent. Ça, il l'a fait pendant leurs vacances, chez nous ce vaux rien ! Ah ! c'était un beau garçon ! Mais l'intérieur de sa personne était noire. Il était faux et mielleux envers les gens qu'il désirait séduire ; mais avec nous, ça ne marchait pas.

    Peu de temps après que la petite famille soit repartie pour la rentré de classe, Isa dû se faire opérer de la vésicule biliaire pour avoir reçu des coups de pieds dans le ventre par (inutile de le nommer) : des coups de pieds et des sautillements sur son abdomen, toujours sans être inquiété par les autorités.

    Isa est décédée à l'âge de 35 ans sur la table d'opération, laissant ses trois enfants "et la grande de 12 ans pour laquelle nous crénions des actes pas très saints de la part du père." Jusque là, devant nous, il n'y avait pas eu de gestes ni paroles répréhensibles : pour chez eux, Isa nous avait assuré que les assistantes sociales veillaient sur les enfants ; mais nous avions peur que cela arrive, maintenant que leur maman était partie pour un autre monde. Nous avons fais le nécessaire afin de savoir ce que deviendraient les trois enfants après ce drame. Cela nous tracassait. Nous avons su par la grande qui nous a appris le décès de leur mère, que c'était leur oncle maternel qui allait les prendre en charge par décision de justice car la grande avait parlé de tout ce que son père leurs avait fait subir comme des maltraitances verbales et des menaces, ainsi que des coups sur leur mère qui avait tout caché à sa famille ; mais qui en était morte.

    Je n 'ai plus eu de nouvelles depuis ce temps où Isa avait un peu été heureuse avec nous protégée par Jean-Michel : mon époux, et moi-même car ne me faisait pas peur cet ignoble individu ! Si nous avions pu lui refuser notre toit, nous l'aurions fait sans aucun remord ! Mais pour Isa que j'aimais et respectais, je ne pouvais pas aller contre sa volonté. J-M et moi, parlons toujours de Isa et de ses enfants. Nous aimerions avoir de leur nouvelles ; mais nous n'avons aucun contact et nul lieu où les joindre. Ils sont des hommes et des femmes aujourd'hui car cette histoire date d'au moins plus de vingt ans comme je l'explique au début de mon récit. Lui est en prison pour multiples infractions : ça, nous le savons car Isa nous avait déjà confié ses travers pas très reluisants. Mon époux étant un pompier encore en service à cette époque, Ce salopard se tenait tranquille car il ne savait pas que Isa nous avait tout dit. Il faut dire que malgré tout, nous ne dormions pas sereinement ; Mais J-M veillait au grain.

    Cette histoire m'a beaucoup marqué et là, en vous confiant cette amitié qui nous a engagée très loin : Isa et nous, sans pouvoir faire exactement ce que nous aurions voulu pour les enfants et pour elle, j'ai le cœur qui se sert et je pense que nous n'en avons pas fais assez...

    Lorsque je fraternise avec un ou une amie, c'est un être que je respecte, que j'aime et que je découvre chaque jour un peu plus. L'amitié, pour moi, n'est pas seulement ce qui se forge au fil du temps, mais aussi l'alchimie de deux cœurs qui se comprennent.

    Cette alchimie est une forme d'amour dont la fusion est L'amitié : c'est de l'amour ; mais pas l'amour qui unis les couples ! C'est plus simple, plus délicat et sans ambiguïté. L'amitié, l’empathie, nous pousse à être généreux envers son prochain.

    L'amitié nous pousse à être présent pour son ami(es), attentif à ses soucis, ses peines, ses besoins, ses problèmes et si nous sommes en mesure de pouvoir l'aider, nous le faisons volontiers, même si ce n’est que moralement, spirituellement, amicalement, cordialement. C'est ça l'amitié. Est-tu mon ami(e) ? Si tu es mon ami(e), déjà tu l'as senti... 

    L'amitié ne doit jamais être à sens unique ! Elle doit toujours être présente pour l'autre personne lorsque celle-ci à besoin de réconfort. Elle ne doit surtout pas se mêler de sa vie; mais simplement être une écoute pour éventuellement l'aider à comprendre ce qui ne va pas, pour se comprendre elle-même... L'amitié doit être désintéressée et indéfectible. L'amitié est une fleur que l'on doit soigner pour la voir grandir dans le cœur de chacun, si non elle risque de se faner bien trop vite. Sachez cultiver la fleur de l'amitié ! 

    N. GHIS.

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     Texte écrit en 2010 : modifié en 2017

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