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         Juste un rayon de lune

               

       Juste un rayon de lune

     

    Juste un rayon de lune éclaire le lit blanc
    Et caresse les draps ou sa pensée la tord.
    Ils avaient rendez-vous au jardin sur le banc,
    Mais n'est pas revenu et pleine de remord,


    Le reproche en son cœur elle pleure sa défaite.
    Il était amoureux, il désirait son corps.
    Elle le croyait sincère, pour elle, c'était un fait :
    Il ne faut jamais croire aux futiles accords !


    Elle s'est donnée trop vite, amoureuse éperdue,
    Ignorant la prudence, mère de la vertu,
    Elle s'est offerte à lui sans réfléchir à elle
    Espérant un amour qu'elle voulait éternel.


    Sa nudité cachée sur le drap éclairé,
    Elle repense à lui qui trahit son amour.
    Que peut-elle espérer d'un destin fracturé ?
    Les souvenirs son là pour y penser toujours.


    Son bonheur n'était pas à porté de sa main !
    Elle avait cru pourtant le frôler de ses doigts,
    Mais l'amour, comme la vie, se fiche bien des lois !
    Il va, il vient, s'ennuie pour fuir un beau matin.


    Tout à son son infortune, elle respire les draps
    Ou l'odeur de son corps mêlé à son parfum
    La mettent en souffrance et dans tous ses états.
    Elle n'est pas encore prête à prendre le chemin


    Vers une guérison, l'oubli et la raison.
    Elle se ferme sur elle, elle pleure et se morfond
    Le téléphone portable à porté de sa voix,
    Attendant un appel qui ne sonnera pas...

    N. GHIS.

     

    Jean Philippe (site web E.monsite) Le 16/07/2009

    Ce que tu écris, c'est géant, mais je n' ai pas tout lu : il me faut du temps, car moi je m' imprègne de tes mots pour vivre des sensation forte. Bisous, Ghis. Jean-Philippe.

     


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    Transparence

     

     

    Transparence (Alexandrin)

      

    Transparence des âmes où la beauté se joue
    D'un regard que l'amour enflamme d'un rayon
    Et vient brûler les cœurs battants à l'unisson
    Quand vient le doux moment d'un baiser sur la joue.



    Un bonheur qui fleurit, un soupçon de douceur,
    Une musique tendre ou pleure un violon
    Et c'est l'embrasement en multiples couleurs
    Lorsque les corps frémissent à perdre la raison.


    Le chant d'un rossignol troublant seul le silence
    Plus sensible aux amants qu'un orchestre parfait,
    Transportant leurs émois devants leurs impatiences,
    Bien plus forte est l'étreinte : l'amour a ses attraits...



    Ils ont le regard clair, leurs esprits sont en phase.
    Une douces envolées amoureuses est sans loi.
    Ils se laissent porter par l'amour et la foi
    En leurs gestes affolés les menant à l'extase.



    Un bonheur qui fleurit, un soupçon de douceur,
    Une musique tendre ou pleure un violon

    Et c'est l'embrasement en multiples couleurs
    Lorsque les corps s'unissent à perdre la raison.



    la plume de N. GHIS. 

    03/05/2010

    Sacem


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